Melisende Kaan

L'Admin doit Bien entendu avoir sa Fiche =)

Nom : Kaan

Prénom : Melisende ( Meli, Mel )

Age : 18 ans > Humain et 118 ans >> Réellement

Catégorie : Vampire Végetarienne

Don : Sa main s'allonge et se transforme en une lame de cristal redoutable .

Caractère : Melisende est très charmante, c'est une jeune femme délicate, adroite et très légère. Elle ne supporte pas quand quelqu'un la domine, et préfère s'assurer le controle des situations. Elle est active et n'abandonne jamais ce qu'elle entreprend de faire. Mel' est très agile et à une bonne maitrise de soit. Peu de gens arrivent à la décoder. Elle est très mystérieuse et cache ses sentiments donc elle est difficile à cerner. Meli s'intègre facilement dans un milieu rempli d'humain, elle parle que quand c'est necessaire et déteste quand une personne lui coupe la parole. Elle est très rigoureuse et soigne tout ce qu'elle fait. Elle a une détermination assez impressionnante ce qui peu destabiliser certaines personnes.
Melisende est très rancunière, il faut faire attention aux gestes et aux paroles quand elle est dans les alentours. A certain moment c'est une vrai tête de mule, surtout quand la haine prend le dessus. C'est une délicieuse vampire colérique.

Description physique : Melisende est une jeune vampire ravissante. Elle a un visage fin et un teint neigeux. Ses yeux verts emeraudes sont cernés par des cils noirs longs et légers, ce sont ses prunelles noires troublantes qui lui donne son coté mystérieuse. Sa bouche est bien dessinnée et rosée. Sa lévre superieure est fine tandis que l'inférieure est pulpeuse. Elle a un magnifique sourire et des dents bien alignées, droites et blanches. Son nez n'est ni trop grand, ni trop petit, ni trop gros bref comme il faut celon elle. Ses cheveux sont d'un noir ténébreux aux reflets bleus océans, ils sont légerments bouclés et lui arrive dans le milieu du dos. Sa peau est de couleur crai et froide comme la pierre, mais lisse comme la surface d'un diamant. Son corps et élancé et a de jolies formes. Ses mains sont douces comme de la soie. Elle s'habille chiquement. Mel' aime bein ce qui est léger, bref les débardeurs, les robes d'été et les shorts en jean. Ses pas sont précis et elle donne l'impression de voler.

Histoire :

Première Vie

Melisende est née le 31 octobre 1891, aux alentours de midi. Sa mère décéda sous l’épuisement après l’accouchement. Le père ,lui, n’était jamais revenu d’une chasse d’élans, il y a deux semaines et trois jours. La petite brailla dans la paille, elle hurlait et avait très faim. Malheureusement la seule personne qui était avec elle, n’était plus de ce monde. C’est alors qu’une dame assez vieille la trouva. Cette personne avec des yeux bleus clairs et des cheveux roux. , ne fit guère attention au cadavre et emmena la fillette avec elle. Quand Meli se réveilla, elle se trouvait sur du foin enfermée dans des couvertures, une faible bougie éclairé la petite chambre où elle était. Soudain un homme, moche, entra et hurla à sa femme : Antoinette, la gosse est a ouvert les yeux. Il jeta un regard noir à l’enfant puis se poussa pour laisser place à sa femme. Elle avait dans les main une sorte de biberon et la tétine alla directement dans la bouche de la fillette. Depuis ce jour, une grande complicité naquit entre elle.
Bien entendu le temps passa, Melisende grandissait normalement et était très manuelle. Elle n’aimait pas Gérard, et restait tout le temps avec sa mère adoptive. Son travail était parfait et elle cuisinait à merveilles. Un soir, le 27 Mars 1902, un orage explosa dans les airs, les éclairs fusaient de part et d’autres, la pluie glaciale s’acharnait sur le sol tandis que le vent fouettait l’air. Antoinette sortit car ses nouveaux vêtements étaient entrain de prendre la pluie ; elle se précipita dessus et réussis à tout prendre, c’est alors qu’au retour, elle trébucha et en éclair la toucha. Mel’ hurla et s’approcha d’elle rapidement, elle essayait de la réveiller mais rien à faire.

Depuis la mort d’Antoinette, Melisende passa une vie affreuse. Gérard, ce sale ivrogne répugnant, la battait dès que quelque chose de mal ce passait : un verre cassé et elle se prenait trois coups de fouets. Ce dangereux humain n’était qu’un sadique. La jeune femme le haïssait. Elle en avait perdu la raison de vivre et tout les soirs pleurait à chaudes larmes. La nuit à certains instants, elle avait l’impression que quelqu’un l’observait. Mais pour elle ce n’était que des hallucinations. Peu de temps après ses dix-huit ans, l’ivrogne la tira part les cheveux, et l’emmena marchait dans la foret, pendant des heures. Enfin ils s’arrêtèrent dans une clairière sombre près d’un ravin. Gérard l’abattit sur le sol et lui lança que des insultes, des coups de bâtons dans le ventre, des cailloux au visage. Melisende hurlait, pleurait, ses yeux verts ternes lui lançaient des éclairs et ses cheveux noirs étaient remplis de boue et de crasse. Après qu’il s’eut fit plaisir, il s’en alla tout en la jetant dans le trou profond. Mel' était presque morte, plus la chute qui l'attendait s'en était fini. Elle sentit qu’elle tombait de plus en plus bas mais n’arriva pas au bout.

Renaissance

Douleurs insupportables. Esprit en flamme. Ame souffrante. Changements.
Melisende ouvrit les yeux. Elle était dans la clairière de l’autre nuit. Elle reconnut les lieux dès que ses yeux se posèrent sur les arbres autour d’elle. La jeune femme percevait le moindre détail, entendait le moindre souffle, sentait le sang des animaux alentours. Dès qu’elle flaira un cerf sa gorge s’enflamma et elle se leva brutalement, si rapidement qu’elle même fut étonnée de sa vitesse, de son agilité. Quelque chose l’intercepta avant qu’elle n’est posé ses pieds au sol. Un visage angélique, des yeux d’un or, un teint neigeux, de fines lèvres. Un dieu d’une beauté éblouissante lui tenait le bras, instinctivement elle lui envoya son bras libre dans la figure, mais il l’effleura. Un grondement provenait de la poitrine de Mel’, elle retroussa ses crocs et lui hurla dessus. L’homme, enfin si s’en était un, ne réagi pas et l’emmena de force s’asseoir sur un tronc d’arbre. Elle résistait mais rien à faire.

Chut … lui murmura t-il de son ténor apaisant, du calme … tu es en sécurité à présent.

La demoiselle le regardait comme si il était une apparition. Etait elle morte ? Si c’était le cas, l’homme devait être l’un des anges qui l’accueillait au Paradis. L’intéressé poursuivit :

J’imagine qu’il va falloir que je t’explique, tout. Il la regarda dans les yeux puis repris. Je te surveille depuis ta naissance. Dès que je t’a vu j’ai su que tu allais devenir quelqu’un d’exceptionnelle. Tu as grandi, et la nuit je te regarder, j’essayais de te décoder. Tu étais heureuse, jusqu’au jour ou ta mère adoptive est morte, et tu es tombé dans les bras de cet ordure. Melisende, tu étais perdu, tu voulais mourir … Alors qu’il y a trois jour, l’ivrogne t’emmenait dans cette foret, alors que tu pleurais, j’étais là. J’ai assisté à toute cette scène immonde. Puis il t’a laissée tomber et je t’ai attrapé la main, tu as eu le droit à une seconde chance. Alors que tu sombrais dans le sommeil éternel je t’ai inséré mon venin dans ton corps, puis tu es devenue quelqu’un d’autre tout en restant la même.

Melisende, le regardait bêtement, elle ne respirait plus et à ce moment là, elle se rendit compte qu’elle n’avait pas besoin d’oxygène. Sur un soprano enchantant, elle murmura :

Venin ? Quelqu’un d’autre ? Mais qui es tu ?

Le dieu incarné posa sa main sur le bras de son interlocutrice et lui annonça :

Je me nomme Grégory. J’étais le frère de ta mère, jusqu’au jour ou je me fis attaquer par une horde de loup et quand je me réveilla, ma gorge était sèche. Je voulais du sang, j’ai eu la même réaction que toi. Mais j’ai appris à me contrôler. Et avec le temps, je réussis à faire certaine choses extraordinaire. Bref, je suis un Vampire, comme toi désormais.

Mel’ eut un choc dans sa poitrine. Déjà parce que c’était son oncle, et que c’était un vampire. Elle se leva précipitamment et alla se placer au milieu de la clairière. Il la laissa faire. Pour elle tout semblait tellement simple. Elle sauta en l’air, attrapa une branche, plia les bras et réussis à se hisser dans le chêne. C’était tellement facile. Greg’ ne mis qu’un quart de seconde pour la rejoindre. Meli le pris dans ses bras et depuis cette rencontre ils ne se quittèrent plus.
Ils voyageaient à travers le continent, chassaient des pumas, des cerfs, des grizzlis. Elle avait retrouvé sa joie de vivre. Elle apprit à développer son don et à le contrôler. Sa main se transformait en une lame de cristal, lisse comme la surface d’un diamant mais aussi tranchante qu’un bout de verre.

Mélisende

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