Une prommenade après une chasse. [Libre]

Les feuilles volent sous vitesse d’un vampire. Le craquement des branches est tellement léger qu’aucun animal le sent. En faite, personne. Nikola courrait à la recherche d’un animal. Il avait faim et soif. Peut être qu’un jour quand rien ne lui empêchera il aura un bel et gros animal à vider de son sang. Il n’y avait pas grand-chose ici, en faite il se trouvait sur le terrain de baseball des Cullen, mais son regard fit attirer par un feuillage agiter. Après une longue réflexion, il comprit qu‘une biche était là. Il se contentera donc d’une biche. Elle était agiter. Il devait donc avoir recours à un peu plus de tactique il allait et venait toujours au même endroit la faisant tourner en bourrique. L’animal venait de s’arrêter et lever la tête. D’un bon léger et souple il sauta dessus. Il fit un sorte de ne pas se salir ou autre. Il mordit au cœur la pauvre et innocente biche. Mais son odeur n’était pas celle qu’il sentait, un autre parfum,plus fort, plus puissant. Une odeur différente de celle du sang, une odeur peut connue. Il ne lâcha pas prise. Il ferma les yeux et mordit encore plus profondément. Il y avait cette si belle odeur envahissante et fantastique, celui de la proie, et une autre. Une odeur qui ne le dérangeait puisqu’il pouvait reconnaitre bien fièrement que ce n’était pas un traqueur et heureusement. Il n’en avait pas la force. Il n’avait vraiment pas envie de se battre contre un traqueur.
Il s’abreuvait comme un animal but l’eau d’un fleuve, d’une rivière d’une flaque d’eau. Il buvait comme un animal du désert qui n’avait pas bu depuis des jours, un animal arrivant à une oasis. C’était comme si Nikola ne s’était pas nourri depuis des jours. Et pourtant, seulement depuis hier il n’avait pas bu. Seulement mais un petit oiseaux n’avait servit à rien. Ce n’était pas suffisant pour ce corps certes faim et peu imposant mais pourtant si puissant.
Nikola venait de vider le sang de la biche. Il la traina dans les sous bois et creusa aussi vite qu’il put un trou. Profond large et peu voyant. Il cachait ses victimes pour ne pas inquiéter chasseur et randonneur, policier ou autre. Il était fidèle à son régime et était propre.
Alexander retourna vers le terrain désert de baseball, mais cette odeur était toujours présente. Une odeur très peu familière même pas du tout. Il s’assit en tailleur et regarda vers le ciel, si triste comme souvent, ici il ne voyait pas le soleil, ici il pouvait sortir sans grand problème.

L’impression que donnait Nikola est de s’apitoyer sur son sort mais pourtant, c’est moment-là était vraiment, mais vraiment minime, il en avait tout simplement besoin, besoin de penser à son ami, son frère. Il voulait savoir à qui appartenait cette odeur mais l’interrompre dans quoique ce soit ne serait pas sublime. Surtout si c’est en pleine chasse, il fallait à tout pris voir la personne de toute manière, ou savoir de qui il s’agissait donc …. Nikola ne pouvait rien faire.

Juste attendre.